Hommes santons à peindre en Argile de Provence

Santons à peindre  8 cm Hommes, fabriqués artisanalement dans le Sud de la France

Hommes santons à peindre en Argile de Provence

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Batteur de Foin

Le  "batteur en grange" armé de son fléau allait de ferme en ferme battre le blé et les autres céréales telles que le seigle et l’avoine. Il travaillait sur l’aire de terre battue, surface plane aménagée dans un coin de la grange. Cette activité se pratiquait par temps sec. C’était un métier pénible qui fatiguait surtout les muscles des bras et des jambes.

Le battage au fléau est de tous les travaux de la ferme le plus rude et le plus nuisible à la santé des hommes qui s’y livrent, et en même temps le moins lucratif.

Le fléau était un outil en bois de charme de préférence. Il était composé de deux parties ; un manche et une "batte", reliés par une courroie de cuir. Le batteur levait le fléau et l’abaissait d’un mouvement régulier de manière à faire tomber la "batte" horizontalement sur les épis.

le "batteur en grange" armé de son fléau allait de ferme en ferme battre le blé et les autres céréales telles que le seigle et l’avoine. Il travaillait sur l’aire de terre battue, surface plane aménagée dans un coin de la grange. Cette activité se pratiquait par temps sec. C’était un métier pénible qui fatiguait surtout les muscles des bras et des jambes.

Le battage au fléau est de tous les travaux de la ferme le plus rude et le plus nuisible à la santé des hommes qui s’y livrent, et en même temps le moins lucratif.

Le fléau était un outil en bois de charme de préférence. Il était composé de deux parties ; un manche et une "batte", reliés par une courroie de cuir. Le batteur levait le fléau et l’abaissait d’un mouvement régulier de manière à faire tomber la "batte" horizontalement sur les épis.

le "batteur en grange" armé de son fléau allait de ferme en ferme battre le blé et les autres céréales telles que le seigle et l’avoine. Il travaillait sur l’aire de terre battue, surface plane aménagée dans un coin de la grange. Cette activité se pratiquait par temps sec. C’était un métier pénible qui fatiguait surtout les muscles des bras et des jambes.

Le battage au fléau est de tous les travaux de la ferme le plus rude et le plus nuisible à la santé des hommes qui s’y livrent, et en même temps le moins lucratif.

Le fléau était un outil en bois de charme de préférence. Il était composé de deux parties ; un manche et une "batte", reliés par une courroie de cuir. Le batteur levait le fléau et l’abaissait d’un mouvement régulier de manière à faire tomber la "batte" horizontalement sur les épis.

le "batteur en grange" armé de son fléau allait de ferme en ferme battre le blé et les autres céréales telles que le seigle et l’avoine. Il travaillait sur l’aire de terre battue, surface plane aménagée dans un coin de la grange. Cette activité se pratiquait par temps sec. C’était un métier pénible qui fatiguait surtout les muscles des bras et des jambes.

Le battage au fléau est de tous les travaux de la ferme le plus rude et le plus nuisible à la santé des hommes qui s’y livrent, et en même temps le moins lucratif.

Le fléau était un outil en bois de charme de préférence. Il était composé de deux parties ; un manche et une "batte", reliés par une courroie de cuir. Le batteur levait le fléau et l’abaissait d’un mouvement régulier de manière à faire tomber la "batte" horizontalement sur les épis.

 

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Prix 3,50 €