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Les satons de couleurs du sud

Batteur de Foin

Batteur de Foin

Prix habituel €3,50 EUR
Prix habituel Prix promotionnel €3,50 EUR
Promotion Épuisé
Taxes incluses.

Fabrication artisanale en argile cuite

Santon Batteur de Foin à peindre en terre cuite.

Hauteur : 8cm Largeur : 3cm Longueur : 3cm

Quantité
  • Fabriqué artisanalement en France, créations Florence MASSOTA 
  • Paiement sécurisé : Visa/MasterCard/Paypal/Chéques
  • Expédition rapide sous 48H après réception du paiement
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Le  "batteur en grange" armé de son fléau allait de ferme en ferme battre le blé et les autres céréales telles que le seigle et l’avoine. Il travaillait sur l’aire de terre battue, surface plane aménagée dans un coin de la grange. Cette activité se pratiquait par temps sec. C’était un métier pénible qui fatiguait surtout les muscles des bras et des jambes.


Le battage au fléau est de tous les travaux de la ferme le plus rude et le plus nuisible à la santé des hommes qui s’y livrent, et en même temps le moins lucratif.


Le fléau était un outil en bois de charme de préférence. Il était composé de deux parties ; un manche et une "batte", reliés par une courroie de cuir. Le batteur levait le fléau et l’abaissait d’un mouvement régulier de manière à faire tomber la "batte" horizontalement sur les épis.


le "batteur en grange" armé de son fléau allait de ferme en ferme battre le blé et les autres céréales telles que le seigle et l’avoine. Il travaillait sur l’aire de terre battue, surface plane aménagée dans un coin de la grange. Cette activité se pratiquait par temps sec. C’était un métier pénible qui fatiguait surtout les muscles des bras et des jambes.


Le battage au fléau est de tous les travaux de la ferme le plus rude et le plus nuisible à la santé des hommes qui s’y livrent, et en même temps le moins lucratif.


Le fléau était un outil en bois de charme de préférence. Il était composé de deux parties ; un manche et une "batte", reliés par une courroie de cuir. Le batteur levait le fléau et l’abaissait d’un mouvement régulier de manière à faire tomber la "batte" horizontalement sur les épis.


le "batteur en grange" armé de son fléau allait de ferme en ferme battre le blé et les autres céréales telles que le seigle et l’avoine. Il travaillait sur l’aire de terre battue, surface plane aménagée dans un coin de la grange. Cette activité se pratiquait par temps sec. C’était un métier pénible qui fatiguait surtout les muscles des bras et des jambes.


Le battage au fléau est de tous les travaux de la ferme le plus rude et le plus nuisible à la santé des hommes qui s’y livrent, et en même temps le moins lucratif.


Le fléau était un outil en bois de charme de préférence. Il était composé de deux parties ; un manche et une "batte", reliés par une courroie de cuir. Le batteur levait le fléau et l’abaissait d’un mouvement régulier de manière à faire tomber la "batte" horizontalement sur les épis.


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Le battage au fléau est de tous les travaux de la ferme le plus rude et le plus nuisible à la santé des hommes qui s’y livrent, et en même temps le moins lucratif.


Le fléau était un outil en bois de charme de préférence. Il était composé de deux parties ; un manche et une "batte", reliés par une courroie de cuir. Le batteur levait le fléau et l’abaissait d’un mouvement régulier de manière à faire tomber la "batte" horizontalement sur les épis.